Automne, évidemment, intimement, désespérément , pourtant y croire, encore follement, impatiemment, mais l’automne était déjà là .
Je me souviens avoir laissé au fils de l’horloger les aiguilles du temps, trop tard. L’ automne laisse glisser les feuilles, les ombres et le vent, sur le teint, je n attendais rien, mais pas l automne, non pas déjà pas encore.
L.D
En passant lier quelques mots aux tiens. J’aime beaucoup cette création photo (un de mes dadas) , pour la douceur des teintes et le fondu.
L’automne, apprécie pour sa luxuriance, redoutee pour ce qu’elle annonce dans le miroir Ambiguïté de l’être humain qui se débat dans ses contraires…