Etienne Roda Gil ne disait que rarement « au revoir »
Il préférait, murmurer « A TOUTE LA VIE »
Alors, A toute la vie !
A toute la vie, Toi qui caresses le ciel au plus doux des étoiles
A toute la vie, Toi qui manques au jour qui se lève
A toute la vie, pour le refrain qui s’égare
A TOUTE LA VIE
A chaque demain et à tous les orages
Aux rêves qui se posent avec fracas depuis six années.
A toute la vie Estheban
Il y a des jours qui battent le rappel
Et là j’aime alors à me perdre
Dans un grand champs de coquelicots,
Feurs qui plient sous le vent de printemps
Et qu’Il aimait tant.
Lise Dest