Publié le avril 12, 2007octobre 8, 2018 par Entre terre et mer, le coeur ouvertWoody Allen Tant que vous n’avez pas été embrassé par un de ces pluvieux après -midis parisiens, vous n’avez jamais été embrassé .
Voici pour vous remercier à mon tour : LE TEMPS NIE SUR LE FIL DU FUNAMBULE_________ Je ne veux pas arrêter le temps Je n’accepte pas de le regarder s’éloigner Je veux échapper à la durée. La totalité rêvée, Je l’exprime, Je la spatialise, Je la fige en volume, Je fixe son vertige. Ma conscience écrasée par la marche du temps Sait qu’à défaut de transformer le monde Elle taraude le vieillissement. Mes rêves d’architecte ne sont rien moins Qu’une nécessité inexorable de ne pas mourir, Comme le funambule il me faut prendre le risque De marcher sur un fil large de milliers de kilomètres. Je ne l’ai pas écrit pour vous … oops ! C’est un texte de jeunesse … @ presto ? Guidu____ Répondre
Voici pour vous remercier à mon tour :
LE TEMPS NIE SUR LE FIL DU FUNAMBULE_________
Je ne veux pas arrêter le temps
Je n’accepte pas de le regarder s’éloigner
Je veux échapper à la durée.
La totalité rêvée,
Je l’exprime,
Je la spatialise,
Je la fige en volume,
Je fixe son vertige.
Ma conscience écrasée par la marche du temps
Sait qu’à défaut de transformer le monde
Elle taraude le vieillissement.
Mes rêves d’architecte ne sont rien moins
Qu’une nécessité inexorable de ne pas mourir,
Comme le funambule il me faut prendre le risque
De marcher sur un fil large de milliers de kilomètres.
Je ne l’ai pas écrit pour vous … oops !
C’est un texte de jeunesse …
@ presto ?
Guidu____